National Pardon Center

Entreprises qui préparent les demandes de suspension du casier

Une façon de décider rapidement si l’entreprise qui prépare les demandes de pardon que vous avez trouvé est digne de confiance, est de voir si elle suit les directives des services privés énoncées par la Commission des libérations conditionnelles du Canada. Vous pouvez les trouver ici:

http://pbc-clcc.gc.ca/prdons/fraud-fra.shtml

Il y a des raisons très évidentes pour lesquelles les entreprises privées ne sont pas autorisées à prétendre être un organisme gouvernemental. On n’a pas besoin de les énumérées ici. Mais inutile de mentionner que cela est un problème dans le domaine de l’obtention de pardon et waiver. Par contre, c’était un problème beaucoup plus courant lorsque le processus d’obtention de pardon était moins compris. Mais beaucoup de gens, aujourd’hui encore, ne savent pas la différence entre une société privée qui prépare les demandes de pardon et la Commission des libérations conditionnelles du Canada (un organisme gouvernemental) qui examine la demande et accorde le pardon.

Prenez par exemple le site web suivant. Il utilise clairement le logo du gouvernement du Canada. J’ai déjà soumis ce site au service des fraudes déjà, mais malheureusement, il est toujours actif.

Pardon Offices Record Suspensions

Il est clair que l’utilisation du drapeau du Canada dans le logo ici est une violation. Si vous tombez sur un site comme celui-ci, mon conseil est de rester loin.

Bien sûr, être à l’affût des violations simples comme cela ne suffit pas. Vous devez faire vos recherches et vous assurez que l’entreprise que vous embauchez est légitime. Je suggère de vérifier auprès du BBB. Si l’entreprise n’y figure pas ou qu’elle a une très mauvaise note, je resterais loin. Une accréditation de la GRC est également un plus.

Mais mon meilleur conseil est d’apprendre à connaître les gens qui auront à travailler sur votre dossier. Si vous habitez près d’un bureau vous pouvez aller le visiter pour avoir une idée de la compagnie. Si vous ne le faites pas, appelez-les et posez les bonnes questions. Surtout, ne donnez pas simplement votre numéro de carte de crédit à la première personne qui vous appelle, demandez leur nom et rappelez-les.

Incidemment, le site web qui se trouve sur la photo a plagié un article que j’ai écrit pour le Toronto Star. Cela arrive tout le temps et je dois admettre que je trouve cela à la fois flatteur et irritant. Mais je m’égare sur ce vieux problème.

Si vous avez eu une mauvaise expérience avec une entreprise comme cela, n’hésitez pas à m’appeler. Je suis heureux d’offrir des conseils et – si vous décidez – prendre soin de votre demande de pardon ou de waiver, de manière opportune et professionnelle.

Michael Ashby

514.842.2411 x 227
mashby@nationalpardon.org

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